Jour gris
Il n’y a rien que je puisse dire, rien que je puisse faire. Après 3 courriels et un message sur une boîte vocale où tout ne veut rien dire, rien dire d’autre que « je veux te voir », dans des mots emballés autrement pour ne pas faire peur.
L’attente prend une forme de déjà vu. Plus rien n’existe que le temps, les secondes qu’on suit sur le cadran, les minutes qui avancent à pas de tortue. Et on se demande ce que La Fontaine avait fumé ce jour-là pour que le lièvre perde !
L’attente prend une forme de déjà vu. Plus rien n’existe que le temps, les secondes qu’on suit sur le cadran, les minutes qui avancent à pas de tortue. Et on se demande ce que La Fontaine avait fumé ce jour-là pour que le lièvre perde !
1 Comments:
Hello!
Voilà un blog interessant. Je te laisse l'adresse du mien, si jamais tu veux aller faire un tour: www.princededite.blogspot.com
Ciao bye!
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